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Le double langage de Paris : La France s’apprête à envoyer des parlementaires pour cautionner la farce électorale du régime RPT/UNIR


Le régime autocratique et totalitaire qui regente le Togo, à l’image de la Corée du Nord, porte la marque de la France. Depuis 1963 que la France s’est impliqué dans le crime crapuleux qui a coûté la vie au père de l’indépendance Sylvanus Olympio, une première en Afrique francophone, Paris n’a jamais lâché le système Gnassingbé malgré les discours hypocrites de ses chefs d’Etat successifs. A chaque fois que le régime de Gnassingbé Eyadema était en difficulté, chahuté par le peuple qui exige son départ, la France vole toujours à son secours, et de manière ostensible. En 2005, après le décès de celui qui a tenu le pays d’une main de fer durant presque 40 ans, c’est Jacques Chirac, ami personnel d’Eyadema, selon ses propres paroles, qui s’est personnellement investi dans la succession monarchique au Togo en mettant au pas la CEDEAO.

Plus de 13 ans après, la situation du Togo est toujours explosive du fait de la volonté de Faure Gnassingbé de s’accrocher par tous les moyens au pouvoir. Depuis plus d’un an, la crise s’est aggravée avec un soulèvement de l’ensemble du pays pour exiger le départ du fils d’Eyadema, et la réaction du régime depuis plus d’un an se résume à des tueries, des exactions contre les populations et un coup de force électoral, en violation de la feuille de route de la CEDEAO.

Face aux agissements du pouvoir de Lomé, les observateurs et les Togolais analysent minutieusement la position de la France vis-à-vis du régime. Il n’y a aucune illusion que la France est toujours aux côtés du régime de Faure Gnassingbé, comme une mère prend soin de son bébé même si interpellé à plusieurs reprises, Emmanuel Macron, piqué au vif, a toujours fait croire que l’homme qui tient le pouvoir de Lomé est infréquentable à ses yeux.

Mais que vaut la parole ou le discours d’un président français ? Aucun crédit lorsqu’on sait qu’au-delà des postures devant les médias, la Franceafrique, ce système mis en place par l’ignoble Jacques Foccart qui a permis d’assassiner plusieurs chefs d’Etat nationalistes africains en faisant main basse sur les richesses de leurs pays, continue de fonctionner même en s’adaptant aussi à l’évolution du continent.

Du discours d’Ouagadougou, une poudre de perlimpinpin

Le 27 novembre 2017, au pays de l’emblématique Thomas Sankara de regrettée mémoire, une icône pour toute la jeunesse africaine assassinée par la France et ses valets locaux. Comme ses prédécesseurs qui viennent en Afrique professer des actes de foi pour endormir les consciences, Emmanuel Macron s’est livré au même exercice d’enfumage des élites africaines. Devant cette jeunesse du Faso et par extension de l’Afrique dont le rêve a été souvent brisé par les régimes obscurantistes incarnés par des valets locaux de la France, Emmanuel Macron a tenté de faire croire qu’il représente une nouvelle génération qui aborde l’Afrique sous un autre prisme.

Extrait : « Je vous parlerais donc ici devant vous de l’Afrique comme d’un continent pluriel, multiple, fort et d’un continent où se joue une partie de notre avenir commun. Je vous parlerais avec sincérité, mais aussi avec une profonde amitié. Je suis comme vous d’une génération qui n’a jamais connu l’Afrique comme un continent colonisé. Je suis d’une génération dont l’un des plus beaux souvenirs politiques est la victoire de Nelson Mandela et son combat contre l’apartheid, chassé par une solidarité panafricaine allant d’Alger à Rabat ; de Luanda à Conakry. C’est l’histoire de notre génération. Aussi je me refuse à toujours revenir sur les mêmes représentations d’hier.

Il y a eu de combats, il y a eu des fautes et des crimes, il y a eu des grandes choses et des histoires heureuses. Je suis d’une génération qui a été impressionnée par la détermination de la jeunesse burkinabè à défendre à deux reprises, et parfois au prix de sa vie, les acquis de la démocratie et de l’Etat de droit. Je suis d’une génération où on ne vient pas dire à l’Afrique ce qu’elle doit faire, quelles sont les règles de l’Etat de droit mais où partout encouragera celles et ceux qui en Afrique veulent prendre leurs responsabilités, veulent faire souffler le vent de la liberté et de l’émancipation comme vous l’avez fait ici ».

Deux ans après ce discours sur fond d’hypocrisie, Emmanuel Macron a-t-il encouragé ceux et celles qui se battent au Gabon, au Congo, en Guinée Conakry, au Togo pour se débarrasser des régimes criminels, autocratiques et totalitaires qui écrasent les populations qui revendiquent plus de liberté, de démocratie, de partage équitable des richesses, poussant ainsi les jeunes à prendre le chemin de l’immigration vers l’Europe avec les drames qui surviennent tous les jours dans le désert en méditerranée dans l’indifférence totale ?

Depuis le 19 aout 2017, le peuple togolais du Sud au Nord s’est levé comme un seul homme pour se libérer de la dictature cinquantenaire des Gnassingbé, le seul régime qui s’oppose à l’alternance par les armes, les assassinats, les crimes, le pillage, les élections frauduleuses depuis 50 ans dans l’espace CEDEAO; mais qu’a fait Emmanuel Macron pour encourager cet élan ? Ce discours à l’épreuve de la réalité est à ranger dans les tiroirs, comme les discours de la Baule, ceux de Chirac, de Sarkozy, de Hollande, etc. La France, c’est la continuité dans le maintien des dictateurs qui servent ses intérêts en Afrique francophone.

A Ouagadougou il y a deux ans, c’était de la poudre aux yeux pour ne pas dire la poudre de perlimpinpin, pour reprendre les termes d’Emmanuel Macron lui-même.

Une mission d’observation parlementaire pour cautionner la farce électorale sanglante du régime

Le double langage c’est le propre de la France et de sa diplomatie. Pendant qu’on nous arrose de discours que la France est un grand pays des droits de l’homme et des libertés, les dirigeants français, les mêmes donneurs de leçon, sont aux petits soins des dictatures en Afrique. La représentation locale de la France au Togo est dans ce rôle d’enjoliveur de la dictature à travers des rapports tronqués, des contre vérités.

La signature du communiqué scandaleux du G5 il y a quelques semaines par l’ambassadeur de France au Togo prouve à suffisance la légèreté avec laquelle la grave crise politique au Togo est appréhendée dans les ambassades dont les premiers responsables sont devenus les coursiers de la dictature. Pour résoudre la grave crise que traverse le Togo depuis le 19 août 2017 et qui fait plus d’une vingtaine de morts, des blessés et des refugiés, la CEDEAO qui s’est invitée dans le dossier togolais, a prescrit une feuille de route le 31 juillet à l’issue de la conférence des chefs d’Etat de de gouvernement à Lomé.

Une feuille de route qui est en fait tout un processus qui devait aboutir à l’organisation consensuelle des élections législatives le 20 décembre prochain après l’adoption des réformes constitutionnelles. Depuis, le régime RPT/UNIR s’active à foncer unilatéralement vers les élections législatives après un recensement scandaleux et un refus catégorique de prendre en compte le projet de réforme constitutionnelle proposé par l’expert de la CEDEAO. Devant cette situation explosive qui risque de basculer le pays dans le chaos, des voix autorisées s’élèvent pour appeler au report des législatives afin d’éviter au pays un scénario semblable à celui de 2005 qui a causé plus de 1000 morts.

La Conférence épiscopale du Togo, les églises évangéliques

presbytériennes méthodiste du Togo, le regroupement des associations de la société civile dénommée le G7, l’Association des cadres musulmans du Togo, Togo Debout, l’association Esperance du père AFFOGNON ont tour à tour appelé à un report du scrutin, après un diagnostic alarmant de la situation. Même la Vice-présidente du parlement de la CEDEAO, Aminata Toungara dans une sortie sur BBC, a évoqué le risque de la déstabilisation de la région par la crise togolaise et plaidé pour un report en invitant les chefs d’Etat de l’institution à raisonner leur homologue togolais Faure Gnassingbé. En dépit de ces appels, le régime fonce vers ces législatives controversées après avoir lui-même créé ses concurrents, des sous-traitants habillés et financés pour accompagner la mascarade. La C14 qui exige depuis, l’arrêt du processus électoral en dénonçant le mutisme de la CEDEAO, a invité le peuple dans son ensemble à manifester pour empêcher l’organisation de ces élections.

Depuis quelques jours, les populations prennent d’assaut les rues et sont violement réprimées par les militaires qui font usage de balles réelles, de bastonnades, d’exactions, de torture systématique. Ce samedi 8 décembre, plusieurs manifestants ont été tués dont un enfant de 11 ans abattu au Nord de la ville de Lomé. Sur les images qui font le tour du monde, on aperçoit un militaire décrit par des témoins comme un des plus hauts gradés de l’armée togolaise, tirer avec un fusil à lunette sur les manifestants depuis une voiture 4X4 noire comme dans un safari.
Dans les villes de l’intérieur, les populations sont à la merci des militaires qui se livrent à toute forme d’exaction.

C’est dans cette atmosphère explosive qu’on apprend que la France s’apprête à envoyer des parlementaires observateurs pour cautionner la farce électorale du 20 décembre prochain. Plusieurs parlementaires du parti majoritaire d’Emmanuel Macron La « République en Marche » feront partie de cette mission. Et c’est la représentation locale à Lomé qui se trouve au cœur de cette manœuvre sordide visant à cautionner ce scandale électoral au Togo. Cette posture ambiguë sinon hypocrite de la France sur le cas togolais et au-delà, dans certains pays africains, constitue un soutien avéré à des régimes de dictature vomis par les populations. Le cas du Togo est encore plus révoltant, surtout que le pouvoir se trouve aux mains d’une seule famille depuis 50 ans.

Emmanuel Macron a-t-il déjà jeté dans les poubelles de l’histoire son discours de Ouagadougou le 27 novembre 2017, comme ce fut le cas de ses prédécesseurs au point de dépêcher les députés de son parti pour une observation électorale au Togo ? Ce sont les fameux groupes d’amitié France Afrique qui continuent de perpétuer les relations incestueuses avec les régimes anachroniques sous les tropiques. Voilà des démarches qui renforcent le socle des dictatures et alimentent le sentiment anti-français en Afrique. Pourquoi les USA et l’Allemagne ont-ils décliné une offre pareille du régime à envoyer des observateurs alors que la France qui se dit pays des droits de l’homme s’apprête à faire le contraire ?

Que la France s’occupe de ses ‘’Gilets jaunes’’

Depuis plusieurs semaines la France renvoie au monde entier l’image d’un pays au bord du chaos. Un pays où le mal de vivre est la chose la mieux partagée par la majorité des Français. La gouvernance d’Emmanuel Macron au profit des riches est pointé du doigt par la majorité des Français qui croulent sous le poids des impôts, des reformes inhumaines. Baptisée les « gilets jaunes », cette révolte se manifeste violemment et se répand dans l’ensemble du pays comme une trainée de poudre. Partout, ce sont les affrontements spectaculaires entre les forces de l’ordre et les manifestants. L’avenue la plus emblématique de Paris, les Champs Elysées a connu les affrontements les plus spectaculaires entre les forces de l’ordre et les manifestants avec la casse de plusieurs boutiques et magasins de luxe.

En Afrique, aux USA, et même en Turquie, les observateurs et parfois les dirigeants, au vu du niveau des violences, ne se privent pas de rappeler à Emmanuel Macron et à la France, pays des droits de l’homme, de faire usage modéré de la violence. Le dernier en date, c’est le président Erdogan dont la sortie a suscité des railleries sur la toile et dans certains journaux. La France, principalement les députés de la République en Marche devaient plutôt s’occuper des ‘’Gilets jaunes’’ que de s’inviter sous les tropiques pour cautionner la farce électorale d’un régime de 50 ans vomi par les populations. Il est temps que la France cesse de jouer à l’hypocrisie en clarifiant sa position vis-à-vis du régime de Faure Gnassingbé.

Les petites phrases de Macron ou les communiqués laconiques du Quai d’Orsay dans lesquels on a pris l’habitude de renvoyer dos à dos les bourreaux et les victimes, ne sont qu’une caution avérée au régime de Lomé où des hauts gradés peuvent être vus en train de tirer sur un enfant avec une arme munie d’un objectif. De toutes les façons, la campagne électorale du parti au pouvoir et ses sous-traitants peine à se dérouler.

Les manifestations se déroulent dans toutes les villes avec leurs lots de violences, de morts et d’exactions et ailleurs les candidats en campagne sont carrément renvoyés par les populations. Si c’est dans ce climat que des parlementaires français comptent débarquer au Togo pour faire de l’observation électorale, alors ils seront les bienvenus.


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Après avoir récemment dépassé l’Union européenne, dans ses anciennes frontières incluant le Royaume-Uni, le monde francophone compte désormais 524 millions d’habitants. Une progression essentiellement due à l’Afrique francophone, dont l’émergence démographique et économique mériterait davantage d’intérêt de la part des pays francophones du Nord, et notamment de la France.


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Inter  - Inter - Chronique de Kodjo Epou : Fourberies européennes iciLome - [1/15/2021]

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