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Les status quo au Togo insuportables pour le peuple souverain togolais dont la CEDEAO devrait tenir compte



LES STATUS QUO AU TOGO INSUPPORTABLES POUR LE PEUPLE SOUVERAIN TOGOLAIS DONT LA CEDEAO DEVRAIT TENIR COMPTE

Par Le Professeur Pascal Kossivi ADJAMAGBO
Président National du MPL-ABLODEVIWO

Le mercredi 4 juillet 2018, le Président français Emmanuel Macron en visite officielle au Nigéria a accordé au journaliste français Christophe Boisbouvier une interview diffusée sur RFI le lendmain, au cours de laquelle le président français a notamment déclaré : « le statu quo n’est pas possible pour le Togo » . Cette déclaration interpelle d’abord tous les togolais, et en particulier tous les protagonistes de la crise politique togolaise actuelle et tous les représentants des forces vives des catégories politiques, sociales, professionnelles et religieuses du Togo. Elle interpelle ensuite tous les médiateurs de cette crise, et en particulier tous les dirigeants de la CEDEAO. Elle constitue un gros pavé jeté dans la marre du débat public togolais, dont les effets n’ont pas encore été suffisamment analysés par tous les acteurs ou tous les observateurs de la vie politique togolaise. Qu’il nous soit permis d’exposer succinctement ici les résultats de cette analyse, tant à l’attention de tout le peuple souverain togolais, « seul détenteur de la souveraineté togolaise » conformément à l’article 64 de la constitution togolaise, que de tous les dirigeants de la CEDEAO qui doivent proposer au peuple souverain togolais le 31 juillet prochain leurs propositions de sortie de crise au Togo. Il importe que ces dirigeants ne perdent pas de vue que la souveraineté du peuple togolais est inaliénable et que c’est à lui seul que revient la décision ultime, conformément à la mise en garde du Président John Kennedy : « A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ».

Il est indiscutable que le premier statu quo le plus insupportable pour le peuple souverain togolais est celui du « régime héréditaire » cinquantenaire togolais dont le joug pèse depuis 1967 sur ce peuple plus longtemps que l’ont fait le joug de la « tutelle coloniale » quarantenaire française de 1920 à 1960 et le joug du « protectorat colonial » trentenaire allemand de 1884 à 1914. Ce statu quo est d’autant plus insupportable que ce « régime héréditaire » a provoqué au Togo la ruine économique et la ruine des valeurs morales, et installé au Togo le règne de la misère économique et morale. Ce règne se traduit en particulier par le manque criard d’hôpitaux, d’écoles, et de marchés, par le manque crucial d’accès à l’eau dans plusieurs localités, par la dégringolade catastrophique de la production agricole malgré la croissance de la population. Tout cela est en flagrante contradiction avec la devise togolaise « travail, liberté, patrie » et l’hymne national togolais : « Salut à toi pays de nos aïeux, toi qui les rendait forts, paisibles et joyeux, cultivant vertu, vaillance, pour la postérité. Que viennent les tyrans, ton cœur soupire vers la liberté, Togo debout, luttons sans défaillance, vainquons ou mourons, mais dans la dignité. Grand Dieu, toi seul nous a exaltés, du Togo pour la prospérité. Togolais viens, bâtissons la cité… Clamons fort notre devise, que rien ne peut ternir. Seul artisan de ton bonheur, ainsi que de ton avenir, brisons partout les chaînes de la traîtrise, et nous te jurons toujours fidélité, et aimer servir, se dépasser, faire encore de toi sans nous lasser, Togo chéri, l'or de l'humanité».

Le second statu quo le plus insupportable pour le peuple souverain togolais est celui de la mauvaise gouvernance économique et de l’impunité des crimes économiques. Ces facteurs favorisent une corruption galopante et le détournement des fonds publics avec la passivité confinant à la complicité du Chef de l’Etat. Ce dernier est allé jusqu’à maintenir au gouvernement actuel des ministres publiquement mis en cause pour des détournements de fonds publics et à reprendre au gouvernement actuel des anciens ministres qu’il avait lui-même exclu pour les mêmes motifs. A cette liste des effets de ces facteurs, il faut ajouter le pillage des richesses du pays par une « minorité pilleuse » dénoncée par le Chef de l’Etat lui-même en déclarant dans son message à la nation le 26 avril 2012 pour la fête de l’indépendance 2012 que « Lorsque le plus petit nombre accapare les ressources au détriment du plus grand nombre, alors s’instaure un déséquilibre nuisible qui menace jusqu’en ses tréfonds la démocratie et le progrès » . Il faut encore ajouter le développement d’un « libéralisme mafieux » dénoncé par le journaliste suisse Gilles Labarthe dans son livre « Le Togo, de l’esclavage au libéralisme mafieux ». C’est également l’objet de la plainte récente de la « Ligue des Consommateurs du Togo » dans une lettre datant du 28 juin 2018 au Procureur Général du Togo. Il est écrit en effet dans cette lettre : « De mémoire, on peut citer, au nom de ces scandales, le détournements de fonds publics collectés à la suite des participations de l’Equipe Nationale de Football à la Coupe d’Afrique des Nations de 2013 en Afrique du Sud et de 2016 au Gabon, les détournements répétitifs du Fonds Mondial de lutte contre la Tuberculose, le Paludisme et le Vih-Sida, le détournement des dix milliards du projet BIDC, les scandales de la route Lomé-Vogan (avec un détournement de l’ordre de 15 milliards de FCFA) et des contournements de la Région centrale (avec un détournement de l’ordre de 10 milliards de FCFA), l’évasion fiscale à Wacem où sont actionnaires plusieurs Premiers ministres et ministres, etc. Le dernier cas faisant l’objet de cette lettre est celui du scandale Swissleaks paru dans le bihebdomadaire L’Alternative numéro 704 du 22 mai 2018 ».

Le troisième statu quo le plus insupportable pour le peuple souverain togolais est celui des fraudes électorales de toutes sortes à répétition et à profusion. Ces dernières vont des falsifications du fichier électoral, des achats de consciences des électeurs et des intermédiaires administratifs, des bourrages ou les vols des urnes, et des falsifications des procès verbaux, jusqu’à la proclamation des résultats fictifs préfabriqués par des institutions à la solde et à la botte du pouvoir. Ces fraudes font apparemment parties des gènes du régime héréditaire togolais. C’est ce que prouve d’abord la déclaration de l’ancien Président américain Jimmy Carter venu en personne assister en tant qu’observateur de la « Fondation Carter » à l’élection présidentielle togolaise du 25 août 1993 qualifiée par le Prix Nobel de Paix américain de « mascarade » au vue de ses fraudes fragrantes et grossières. C’est ce que prouve ensuite la déclaration de l’Union Européenne affirmant pudiquement à propos de l’élection présidentielle du 21 juin 1998 que « le processus électoral est sorti de son cadre légal » . La cause principale, mais pas exclusive, de cette affirmation, c’est le « coup d’état électoral » constitué par l’arrêt du processus de décompte des voix et la proclamation des résultats fictifs par le Ministre de l'Intérieur en lieu et place de la CENI chargée de cette mission par la loi. C’est ce que prouve aussi l’inversion des résultats des deux principaux partis d’alors, le RPT et l’UFC, lors des élections présidentielles du 1er juin 2003 et du 24 avril 2005, et des élections législatives du 14 octobre 2007. La contestation populaire de ces résultats a provoqué en avril 2005 des répressions sanglantes sans commune mesure avec les massacres de Soweto du 16 juin 1976. Le bilan réel de ces répressions oscille entre 1500 victimes selon les chiffres originaux du rapporteur de l’ONU, Doudou Diène, et 3000 victimes selon les objectifs du pouvoir révélés par le ministre togolais de l’intérieur de l’époque, François Boko. C’est ce que prouve enfin la répétition à l’occasion de l’élection présidentielle du 25 avril 2015 du « coup d’état électoral » de 1998 par lequel en grande partie « le processus électoral est sorti de son cadre légal » comme en cette année, avec l’arrêt du processus légal de décompte des voix et la proclamation unilatérale de résultats fictifs par le président de la CENI et de la Cour Constitutionnelle. Selon les indiscrétions de la presse, ce sont ces « fraudes électorales de toute sortes à répétition et à profusion » que le Président français Emmanuel Macron aurait vivement reproché au Président togolais lors de leur premier tête-à-tête au dernier sommet Union Africaine-Union Européenne le 29 et 30 novembre 2017 à Abidjan. Puisque les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, ce sont ces « fraudes électorales de toutes sortes à répétition et à profusion » , avec leurs lots de violences massives potentielles pouvant déstabiliser toute la sous-région africaine du Togo, qui rendent dangereuses et irresponsables des décisions éventuelles des dirigeants de la CEDEAO attendues pour le 31 juillet 2018. Celles-ci peuvent être en faveur d’élections législatives précipitées sous le prétexte contestable de respect de délais constitutionnels, comme le réclame le pouvoir héréditaire togolais. Elle peuvent aussi être en faveur d’élections législatives ou présidentielles organisées comme à l’accoutumée par ce pouvoir, et non par un gouvernement de transition, comme le réclame avec insistance la coalition de l’opposition togolaise.

Le quatrième statu quo le plus insupportable pour le peuple souverain togolais est celui des réformes constitutionnelles et institutionnelles préconisées par l’APG du 20 août 2006, ayant permis au pouvoir héréditaire togolais de survivre à son fondateur. Cet accord a été signé par tous les principaux partis politiques togolais et deux organisations de société civile togolaise, et a été soutenu à travers son comité de suivi par l’Union Européenne et la CEDEAO. Il a été confirmé par la CVJR présidée par une autorité religieuse, Monseigneur Barrigah, qui a présenté son rapport final à la presse le 3 avril 2012. L’essence de l’APG est le retour avec des améliorations qui se sont imposées (concernant en particulier le sénat et les élections locales) à la constitution originelle de 1992, notamment avec la fameuse mention « en aucun cas » de son article 59 concernant le nombre de mandats présidentiels. Ce retour fait suite aux modifications unilatérales et illégitimes (bien que légales) successives en 2002 et 2005 par le pouvoir héréditaire togolais. Considérant le refus de ce pouvoir d’opérer depuis douze ans les réformes de l’APG ; Estimant que le Chef de l’Etat togolais actuel, après trois mandats présidentiels, ne saurait tirer profit de l’immoralité de la violation de l’APG pour imposer une interprétation « non rétroactive » de l’article 59 et pour briguer un ou deux nouveaux mandats présidentiels ; Estimant que la loi fondamentale n’est pas subordonnée à un prétendu « principe sacré de la non-rétroactivité », mais à la souveraineté populaire ; L’opposition togolaise, réclame ce retour avec les améliorations qui s’imposent à la constitution originelle de 1992, avec une application immédiate du fameux article 59.

En conclusion, pour briser ce statu quo des réformes constitutionnelles et institutionnelles et sortir du cercle vicieux des arguties juridiques qui sont insignifiantes devant la souveraineté populaire, la sagesse recommande aux dirigeants de la CEDEAO de demander d’abord au Chef de l’Etat togolais de poser un geste politique fort en renonçant librement à briguer un nouveau mandat présidentiel, en suivant les exemples d’actualité de ses pairs nigériens et ivoiriens. Elle recommande de demander ensuite à l’opposition togolaise de s’engager à laisser le Président togolais terminer son mandat en cours et à faire voter par l’Assemblée Nationale une loi sur le statut des anciens présidents togolais comme en Namibie, leur garantissant une amnistie générale et un niveau de vie conforme à leurs fonctions passées. De plus, pour briser à la fois le statu quo des fraudes électorales et des réformes, la sagesse recommande aux dirigeants de la CEDEAO de demander au pouvoir héréditaire togolais d’accepter, compte tenu de la crise politique et économique dont souffre le Togo depuis bientôt un an, la mise en place jusqu’à la fin du mandat présidentiel en cours d’un gouvernement de transition. Celle-ci devrait être dirigée par un Premier Ministre issu de la coalition de l’opposition, et chargée d’opérer les reformes constitutionnelles et institutionnelles conformément à l’APG et à la souveraineté populaire, et d’organiser avec tout le temps nécessaire les élections législatives avant un an et l’élection présidentielle avant l’échéance constitutionnelle d’avril 2020.

Puisse la sagesse africaine nourrir le cœur et l’intelligence des dirigeants de la CEDEAO réunis en conclave à Lomé les 30 et 31 juillet 2018, pour permettre au peuple souverain togolais de briser tous les statu quo qui lui sont de plus en plus insupportables, pour pouvoir mettre en pratique comme ses aïeux sa devise et son hymne national, pour retrouver le passion du travail, le bonheur de la vraie liberté, son fameux ABLODE GBADJA, l’amour de sa patrie, pour «aimer servir, se dépasser, faire encore de toi sans nous lasser, Togo chéri, l'or de l'humanité» !

L’ETERNEL BENISSE LE TOGO ET TOUS SES ENFANTS POUR EN FAIRE UNE SEULE FAMILLE !!!
ABLODE ! ABLODE ! ABLODE GBADJA !!!


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